Maintien de l'ours brun dans les Pyrénées
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Maintien de l'ours brun dans les Pyrénées
Jusqu'au 3 Février, consultation auprès du Préfet des Pyrénées Atlantiques.
Modèle de lettre à envoyer ....si envie:
Obligatoire, indiquer: Nom, Prénom, date, envoi avant le 3 février.
Monsieur le Préfet des Pyrénées-Atlantiques
Consultation " introduction de l'ours "
2 rue du Maréchal Joffre
64 021 PAU Cedex
Monsieur le Préfet,
Je viens, par ce courrier, vous apporter tout mon soutien pour le futur renforcement de la population d’ours dans les Pyrénées et plus particulièrement en Haut Béarn, dernier espoir de sauver les ultimes gènes des ursidés pyrénéens.
En tant qu’habitant et utilisateur des Pyrénées je ne peux qu’adhérer à cette démarche pour le symbole patrimonial et de biodiversité qu’elle représente.
Toutefois, un nouvel effort sera très rapidement nécessaire afin de renforcer génétiquement le noyau central qui, même s’il est assez bien portant désormais reste fragile et court un fort risque de consanguinité, de même que la création d’un nouveau noyau à l’est de la chaîne par l’apport de femelle(s) serait à envisager pour une meilleure sauvegarde de l’espèce.
La survie de l’ours, cet animal emblématique de nos Pyrénées, est liée à sa meilleure protection, avec sanctions sévères à l’appui pour toute infraction à son statut d’animal protégé, ainsi qu’à la protection de son territoire (c’est l’espèce parapluie type), en particulier avec un encadrement plus strict de la chasse en battue extrêmement dérangeante pour toutes les espèces animales quelles qu’elles soient.
Cette présence plus importante de l’ours devra par contre être compensée par un soutien encore plus fort auprès des utilisateurs professionnels de la montagne, éleveurs en particulier, soutien financier fonction, et c’est normal, de l’effort qu’ils consentent eux-mêmes à faire afin de protéger leur cheptel.
L’image positive de l’ours, ressentie par une majorité de français, serait aussi l’occasion de valoriser les produits pyrénéens issus de ses zones de vie, et une façon de promouvoir un écotourisme local qui trouverait, grâce à cet animal, un point d’appui particulièrement attractif.
En conclusion, OUI à l’ours, OUI à sa cohabitation avec les activités humaines, NON à la peur de cet animal que certains voudraient susciter pour des raisons autres que celles qu’ils avancent.
Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de ma haute considération.
Modèle de lettre à envoyer ....si envie:
Obligatoire, indiquer: Nom, Prénom, date, envoi avant le 3 février.
Monsieur le Préfet des Pyrénées-Atlantiques
Consultation " introduction de l'ours "
2 rue du Maréchal Joffre
64 021 PAU Cedex
Le 21 janvier 2011
Objet : Consultation pour le renforcement de la population d’ours en Haut Béarn
Monsieur le Préfet,
Je viens, par ce courrier, vous apporter tout mon soutien pour le futur renforcement de la population d’ours dans les Pyrénées et plus particulièrement en Haut Béarn, dernier espoir de sauver les ultimes gènes des ursidés pyrénéens.
En tant qu’habitant et utilisateur des Pyrénées je ne peux qu’adhérer à cette démarche pour le symbole patrimonial et de biodiversité qu’elle représente.
Toutefois, un nouvel effort sera très rapidement nécessaire afin de renforcer génétiquement le noyau central qui, même s’il est assez bien portant désormais reste fragile et court un fort risque de consanguinité, de même que la création d’un nouveau noyau à l’est de la chaîne par l’apport de femelle(s) serait à envisager pour une meilleure sauvegarde de l’espèce.
La survie de l’ours, cet animal emblématique de nos Pyrénées, est liée à sa meilleure protection, avec sanctions sévères à l’appui pour toute infraction à son statut d’animal protégé, ainsi qu’à la protection de son territoire (c’est l’espèce parapluie type), en particulier avec un encadrement plus strict de la chasse en battue extrêmement dérangeante pour toutes les espèces animales quelles qu’elles soient.
Cette présence plus importante de l’ours devra par contre être compensée par un soutien encore plus fort auprès des utilisateurs professionnels de la montagne, éleveurs en particulier, soutien financier fonction, et c’est normal, de l’effort qu’ils consentent eux-mêmes à faire afin de protéger leur cheptel.
L’image positive de l’ours, ressentie par une majorité de français, serait aussi l’occasion de valoriser les produits pyrénéens issus de ses zones de vie, et une façon de promouvoir un écotourisme local qui trouverait, grâce à cet animal, un point d’appui particulièrement attractif.
En conclusion, OUI à l’ours, OUI à sa cohabitation avec les activités humaines, NON à la peur de cet animal que certains voudraient susciter pour des raisons autres que celles qu’ils avancent.
Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de ma haute considération.
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